Ces haricots proviennent de la famille Heinrich, dans un petit village de montagne des Grisons.
Ce haricot pousse à 1500 m. d’altitude et est cultivé avec soin sur de petites parcelles dans la ferme « La Sorts » et y est moulu en farine.

La farine de cette ancienne variété de haricot contient non seulement de précieux oligo-éléments mais contribue également à une certaine dureté et prolonge la longévité du Mödeli.
Comme le BergackerBohne est soutenu par ProSpecieRara, « Vom Acker » est mon 6ème Mödeli ProSpecieRara.

Avec un avenir prometteur
Dans ce contexte, j’aimerai vous faire part de ceci : si nous voulons faire un pas dans la bonne direction en ce qui concerne le changement climatique, cela passera probablement par une modification de nos chères habitudes quotidiennes.
Entre autres : manger moins de viande.
Et cela implique de créer et préparer de bons plats protéinés.
Ils doivent également être appétissants et un régal à manger. Du moins, c’est ce que j’attends d’un repas.

Agaçant
À cet égard, je fais de mon mieux et j’essaie de faire plaisir à ma famille avec de nouveaux plats, pratiquement sans viande et mes sempiternelles tentatives pour les convaincre…

Vous ne souhaitez pas jeter les pots et bouteilles en verres de mes produits ?
Alors vous pouvez dès maintenant garder toutes mes bouteilles et tous mes pots en verre.
Lorsque le carton est plein, écrivez-moi svp lors de votre prochaine commande que vous souhaitez me les renvoyer. A noter SVP dans le champ « notes de commande », l’étape suivant « valider la commande ».
Je joindrai alors une étiquette affranchie dans votre colis et vous pourrez me retourner le carton.
Ils seront nettoyés et stérilisés par mes soins et seront ensuite réutilisés.
Une fois par année, une lettre électronique comme celle-ci « atterrit » dans votre boîte email.
Mais seulement si j’ai vraiment quelque chose à raconter.
Mon enthousiasme débordant pour une lettre informative pourrait être canalisé…
Quand je pense à ma propre boîte aux lettres virtuelle et au nombre de bulletins d’information qui passent à la poubelle sans que je les aie lus…

MAIS il y a trois grandes exceptions…
… et je les ouvre toujours avec beaucoup d’impatience.
Les expéditeurs de ces trois Newsletter sont mes parrainages et là, j’espère que j’arrive à susciter votre curiosité pour continuer la lecture – sans appuyer immédiatement avec verve sur « désabonnement ».

Je suis désolée de changer ce petit rituel du DuschMödeli – mais avec toutes les choses que je gère ici dans l’atelier, j’ai de plus en plus de mal à faire face aux tâches qui se présentent souvent en même temps.
La beauté (et peut-être aussi le méfait…) de la version électronique d’un courrier est que vous pouvez vous attarder un peu plus longtemps sur les sujets présentés.
Si vous êtes parvenus à lire ces lignes sans vous ennuyer et sans cligner des yeux, alors j’aurai atteint mon but.

Tout est lié.
Si je bouge beaucoup, j’ai besoin de beaucoup d’énergie. Ou ma voiture a besoin d’énergie. Ou le train.
Si je consomme beaucoup, les choses s’entassent chez moi et, à un moment donné, je dois m’en débarrasser pour ne pas étouffer sous une montagne d’articles.
Donc, par ma consommation, je produis des déchets qui finissent bien à quelque part.
Dans notre pays, il s’agit généralement de l’usine d’incinération.
Si c’est quelque chose de beau ou de précieux, j’essaie de le vendre ou de le donner. Ou je demande aux brocanteurs si l’article les intéresse.
De cette façon, je crée un peu moins de déchets.

Mieux encore, c’est de se demander avant l’achat : est-ce que j’en ai vraiment besoin ?

Notre plus grand organe – la peau – se comporte différemment d’une personne à l’autre et change avec l’âge et les contraintes quotidiennes.

Nous pouvons l’entretenir en la maintenant humide (par exemple en ne la séchant pas complètement en sortant de la douche) en lui apportant des nutriments via des huiles naturelles.

Les huiles naturelles sont constituées de diverses substances dont les propriétés cosmétiques ont été (ap)prouvées. Elles sont principalement constituées de chaînes d’acides gras, mais contiennent également des substances telles que des lécithines (phospholipides), des phytostérols, des caroténoïdes, des tocophérols (vitamine E) et des flavonoïdes.

Il est important d’utiliser ces substances dans leur forme la plus naturelle. Sans aucun additif, ni conservateur ou émulsifiant dans une huile corporelle, ou un beurre corporel ou encore un sérum.

J’entends souvent ceci : « appliquer de l’huile sur la peau ? ouh la la, c’est gras, huileux, non merci !

Moi aussi j’ai réagi de la même manière au début.

Jusqu’à ce que je découvre que chaque huile se comporte différemment sur la peau et, plus important encore, les huiles doivent UNIQUEMENT être appliquées sur une peau HUMIDE. Cela leur permet d’être absorbées facilement et de transporter l’humidité dans les trois couches de la peau.

Notre visage est la partie du corps qui est la plus exposée aux éléments.

Tout naturellement, la peau du visage est plus résistante que, par exemple, la peau de notre fessier (nous y avons la peau la plus délicate). Et c’est pourtant la peau du visage qui « crie » parfois très fort pour attirer l’attention et pour que nous lui prodiguions les soins adéquats.

Lorsque je parcours les longs rayons de produits cosmétiques et de soins dans les magasins, je constate encore et encore à quel point la gamme de produits de soins du visage est variée et colorée. Ce n’est qu’en y regardant de tout près, avec la loupe, que la question du choix des ingrédients est soulevée…

C’est ici le point de départ de mes réflexions : étoffer les soins du visage avec une approche différente.

Pas de conservateurs, pas de substances auxiliaires (qui ne peuvent être fabriquées que dans les petites manufactures comme la mienne – j’en suis bien consciente) et pas de substances de support.

Utiliser une sélection de matières premières adaptées et où tout un chacun s’y retrouve avec la terminologie utilisée.